Wednesday, 25 January 2012

Les Trangers De Lespace

Les Trangers De Lespace
http://signes.coza.net/ovni/secret-ovni.phpL'id'ee de ce site, "Signes des temps", c'est que chaque visiteur peut contribuer au contenu.Si vous voulez discuter de ces th`emes, proposer des sites ou des lectures, je vous invite `a m'en faire part sur le forum ! Une partie de celui-ci est libre d'inscription.Voici un extrait du d'ebut du livre de Donald E. Keyhoe "Les 'etrangers de l'espace" dont vous trouverez une pr'esentation dans notre rubrique "Biblioth`eque", section Ufologie. Le Major Keyhoe, apr`es nous avoir d'ecrit son r^ole dans l'etude officielle des ovni et ses contacts avec les plus grands noms de l'AIRFORCE ou du Congr`es, nous explique ici comment est n'ee cette fameuse chape de plomb qui couvre le ph'enom`ene ovni aux USA depuis plus de 50 ans maintenant et dont de nombreux auteurs ufologues se sont fait les principaux accusateurs. On comprend enfin comment s'est institu'ee cette culture du secret. Ma question, et vous pouvez essayer de m'aider en utilisant le cadre en bas de cette page, est de savoir si Keyhoe s'est lui m^eme fait "d'eboulonner" suite `a ce livre paru dans les ann'ees 70 ? LES 'ETRANGERS DE L'ESPACE - "'ETRANGE SURVEILLANCE" pages 29 `a 36A l'apparition des " soucoupes volantes " `a la Une des journaux, en juin 1947, nombreux furent ceux que la nouvelle divertit. J'etais de ces sceptiques. Il nous semblait difficile d'imaginer que nous puissions ^etre observ'es par une race sup'erieure, du moins, technologiquement sup'erieure. De nombreux officiers des Forces A'eriennes ne voulaient pas m^eme prendre connaissance des rapports sur les UFOs. Quelques-uns seulement, dont le g'en'eral Twining, 'etaient convaincus de la v'eracit'e de ces rapports. On ne notait aucun indice des intentions des 'etrangers de l'espace; mais la crainte d'actes hostiles s'accrut `a la suite d'une premi`ere poursuite, tragiquement termin'ee.Le 7 janvier 1948, une grande machine ronde descendait sur le Kentucky. Le commandant de la base a'erienne militaire de Godman, plusieurs de ses subordonn'es, des agents de police de l'Etat et des milliers de citoyens la virent. Comme elle survolait Godman, le capitaine Thomas Mantell, as de la Deuxi`eme Guerre mondiale, et deux autres pilotes de chasse tent`erent de l'intercepter. Les deux sectionnaires perdirent le contact dans les nuages, mais Mantell poursuivit jusqu'`a la perc'ee. Bient^ot il communiquait avec la tour.J'ai apercu la chose... elle est d'aspect m'etallique et d'une taille 'enorme... Elle amorce une ascension... Je grimpe `a 7 000 m`etres. Si elle gagne sur moi, j'abandonne la chasse. "Ce fut le dernier message. Le corps de Mantell fut retrouv'e `a c^ot'e de son appareil d'etruit `a cent cinquante kilom`etres de la base. Un c^able de presse annonca bien qu'il avait pris en chasse une soucoupe volante; mais les gens ne prenaient pas encore au s'erieux ces r'ecits, et l'on pensa qu'il devait y avoir une raison plus plausible `a l'accident.Cependant, aussit^ot apr`es ce drame, le groupe sp'ecial d'etudes SIGN entrait en fonction `a la base a'erienne militaire de Wright Patterson. Il 'etait compos'e de scientifiques et techniciens en renom, et b'en'eficiait du concours des officiers du Renseignement Technique de l'Air.Pendant six mois, ses membres analys`erent les t'emoignages, questionn`erent les pilotes, les contr^oleurs radar, et les t'emoins ayant une formation s'erieuse. La plupart des UFOs se pr'esentaient comme des disques avec un d^ome, le diam`etre atteignant dix fois l'epaisseur au centre. Ils manoeuvraient souvent en formation et pouvaient ^etre suivis `a la u au radar. Venaient ensuite des engins de forme elliptique ou " en cigare ", dont certains `a deux ponts reconnaissables aux deux rang'ees de fen^etres. Les deux types 'etaient 'egalement capables de grandes vitesses, d'acc'el'erations foudroyantes et de renversements de marche instantan'es. Il 'etait 'evident qu'ils disposaient d'une puissance motrice de tr`es loin sup'erieure `a tout ce que nous pouvions conna^itre sur la terre. L'accord unanime des savants et officiels de renseignement se fit sur cette conclusion TRES SECRETE- Les UFOs sont des v'ehicules spatiaux venus d'un autre monde, et qui observent la terre pour des motifs inconnus;- Pour ce qui concerne le cas Mantell, la mort du pilote ne doit pas ^etre consid'er'ee comme une preuve d'intention d'elib'er'ement hostile. La poursuite pouvait ^etre consid'er'ee comme une attaque appelant une action d'efensive.Le 5 ao^ut 1948, une synth`ese de situation TRES SECRETE parvenait `a l'etat-major des Forces A'eriennes. La conclusion du groupe SIGN passa sans une seule r'eserve le cap de la Direction des Renseignements, et arriva ainsi chez le chef de l'etat-major, le g'en'eral Hoyt Vandenberg. D'ej`a, certains membres du comit'e sp'ecial et officiers sup'erieurs ou g'en'eraux de l'etat-major croyaient que les 'etrangers se livraient `a une exploration de notre plan`ete. Notre monde pouvait ^etre difficile `a comprendre, m^eme pour une race avanc'ee. La crainte des maladies terrestres pouvait 'egalement justifier un d'elai. Et il pouvait y avoir des barri`eres physiques ou mentales rendant malais'ee une prise de contact avec les terriens. Tels 'etaient les arguments invoqu'es pour maintenir le SECRET jusqu'`a plus ample inform'e.Mais d'autres membres de l'etat-major et du groupe d'etude pressaient Vandenberg de pr'eparer le public aux r'ev'elations n'ecessaires. Ils remontraient au g'en'eral qu'il serait bien plus dangereux de se laisser surprendre par des d'eveloppements soudains obligeant `a reconna^itre h^ativement les faits. Vandenberg rejeta s`echement cet avis. J'ai su plus tard ses raisons par des membres du groupe d'etude, dont le capitaine Edward J. Ruppelt, qui me confia " Le g'en'eral a dit que ce serait une d'ebandade. Comment aurions-nous pu convaincre le public que les 'etrangers n'avaient pas d'intentions hostiles alors que nous l'ignorions nous-m^emes ? D'ailleurs, nous n'avions aucune pi`ece `a conviction, aucun vaisseau spatial captur'e. Les gens apeur'es se seraient accroch'es `a cet argument pour contrecarrer les conclusions des experts les plus qualifi'es. Le g'en'eral a pouss'e la volont'e de cacher l'affaire jusqu'`a ordonner de br^uler l'analyse secr`ete. Mais une copie a 'et'e pr'eserv'ee. Le major Dewey Fournet et moi l'avons vue en 1952. " (Le major Fournet 'etait l'observateur de l'etat-major au groupe d'etude sur les UFOs.)L'existence d'une 'etude TRES SECRETE a 'et'e confirm'ee dans une d'eclaration 'ecrite, sign'ee du major Fournet et du lieutenant-colonel George Freeman, ancien porte-parole pour les questions d'UFOs, attach'e au bureau de secr'etaire aux Forces A'eriennes. La lettre de Freeman rappelant les conclusions secr`etes et les r'eactions du pr'esident de notre souscomit'e de Londres, Mr Julian J.A. Hennessy.Apr`es la d'ecision de Vandenberg, le groupe d'etude SIGN fut rebaptis'e " GRUDGE " (SIGN : Signe, Indice. - GRUDGE : Ressentiment.) et les Forces A'eriennes commenc`erent le d'emolissage syst'ematique des rapports sur les UFOs. En 1949, l'etat-major annoncait que tous les rapports avaient 'et'e rejet'es et que son enqu^ete 'etait termin'ee.La d'eclaration de 1969 ne sera que l'echo de celle de 1949. Et toutes deux ont couvert les op'erations secr`etes.Cependant, en 1951 une avalanche d'indiscr'etions contraignit l'etat-major `a reconna^itre que l'enqu^ete n'avait jamais 'et'e close.Cela ne devait pas arr^eter ses efforts pour ridiculiser les t'emoins. Certaines de ces attaques prenaient un tour extravagant. Ainsi, le colonel Harold E. Watson, chef du Service de Renseignement `a la base militaire de Wright Patterson, d'eclarait " L'etude de presque tous ces rapports r'ev`ele l'existence `a l'origine d'un cingl'e, d'un fanatique religieux, d'un chien courant de la publicit'e, ou d'un simple fumiste. "Au cours des ann'ees cinquante, l'USAF s'est efforc'ee par tous les moyens d'enterrer tous les rapports sur les UFOs. Mais certains cas 'etaient trop spectaculaires pour ^etre cach'es. L'alerte sonna dans la presse pour l'USAF `a l'occasion du rapport d'un commandant de bord de la TWA, G.W. Schemel.L'avion TWA vol 21 venait de passer `a la verticale d'Amarillo dans le Texas, route `a l'ouest. II 'etait 22 h 15. Altitude 6 000 m. Visibilit'e voisine de 25 kilom`etres. Le commandant Schemel 'etait aux commandes. Son co-pilote effectuait une v'erification d'instrument, quand des lumi`eres d'un appareil inconnu se mat'erialis`erent brusquement `a moins de 1 500 m`etres. Cette apparition soudaine tenait du myst`ere.L'etrange vaisseau approchait `a une vitesse fantastique. Schemel eut juste le temps de piquer, l'UFO passa sur lui dans un brouillard lumineux. A travers la porte de la cabine, les cris des passagers parvenaient au commandant. Il arr^eta le piqu'e, passa les commandes au co-pilote et se pr'ecipita vers l'arri`ere.C'etait un d'esastre. Le piqu'e avait surpris les passagers sans leurs ceintures, et ils avaient 'et'e projet'es au plafond. A l'arr^et du plongeon, ils 'etaient retomb'es les uns sur les autres au hasard des fauteuils et de la coursive. Une vieille dame, saignant abondamment, cuir chevelu s'erieusement entaill'e, gisait sur un amas de chapeaux et sacs `a main. Sept autres passagers et deux h^otesses 'etaient 'egalement bless'es. Plusieurs personnes 'etaient en proie `a des crises de nerfs.Le commandant Schemel revint rapidement au poste avant et envoya un message `a l'a'eroport d'Amarillo. Il demanda la proc'edure d'atterrissage en urgence et l'envoi au terrain des ambulances et des m'edecins. D`es le matin, la nouvelle se r'epandait dans tout le pays. L'USAF tenta d'expliquer l'affaire... " l'objet myst'erieux n'etait qu'un avion ordinaire que Schemel et son co-pilote n'avaient pas su reconna^itre. " Mais cela ne pouvait expliquer la terrifiante vitesse de l'engin. Les enqu^eteurs de l'A'eronautique Civile 'etablirent par la suite qu'il n'y avait pas eu d' " avion ordinaire " `a ce moment-l`a `a moins de 80 kilom`etres. Mais l'USAF ne voulut jamais admettre qu'il p^ut s'agir d'un UFO.Les rapports 'etrangers ajoutaient aux difficult'es des d'etracteurs des rapports am'ericains. Il y avait eu depuis 1947 des milliers d'observations r'eparties en soixante pays. Les t'emoins 'etaient des personnalit'es telles que le g'en'eral Paul Stehlin de l'Arm'ee de l'Air francaise, le mar'echal de l'air australien Sir George Jones, le g'en'eral A.B. Melville de l'Union Sud-Africaine, et de tr`es nombreux officiers de diff'erentes armes dans presque toutes les nations civilis'ees.En certains pays, la pr'esence de vaisseaux spatiaux 'etrangers a fait l'objet de discussions aux d'epartements de la d'efense. Mais aux Etats-Unis, le secret n'a fait que se consolider.En 1966, une nouvelle explosion d'op'erations UFOs incitait les membres du congr`es, la presse et le public `a exiger la v'erit'e. Aux rapports d'observation, se m^elaient 'evidemment des histoires incontr^ol'ees d'^etres de l'espace.En Californie, une feuille de chou disait que d'etranges ^etres avaient enlev'e une jeune fille de dix-neuf ans. Le journal pr'ecisait qu'elle 'etait seule sur une plage et qu'un vaisseau spatial avait atterri `a c^ot'e d'elle. Six humano"ides `a peau bleue et pieds palm'es en 'etaient sortis et s'etaient empar'es d'elle. Neuf mois plus tard, elle avait eu un b'eb'e `a peau bleue et pieds palm'es. Des histoires fantastiques de rapt, des descriptions de monstres velus, des rumeurs de meurtres 'etranges commis par des 'etrangers ajoutaient `a la tension g'en'erale.Pour 'eviter une intervention pr'ecise du congr`es, l'USAF ouvrit un cr'edit de 523 000 dollars pour une enqu^ete " libre de tout pr'ejug'e " confi'ee `a un groupe de l'universit'e du Colorado dirig'e par le docteur E.U. Condon. Aux termes du contrat, Condon et autres membres int'eress'es de l'Universit'e s'engageaient `a " mener ce travail dans des conditions de stricte objectivit'e ". Mais, `a peine nomm'e administrateur du groupe, Robert J. Low proposait une tout autre approche.Parmi ses suggestions 'ecrites au vice-pr'esident de l'universit'e du Colorado. Thurston Marshall et `a quelques autres sommit'es universitaires, se trouvait en effet cet 'etrange avis (une photocopie du memorandum de Low figure aux dossiers personnels de l'auteur.) :" Notre 'etude devrait ^etre men'ee presque exclusivement par des personnes rejetant absolument ces hypoth`eses... L'astuce serait, je pense, de pr'esenter l'analyse de telle sorte qu'elle apparaisse au public comme une 'etude totalement objective'... ".Pendant plus d'un an, en tant que directeur du NICAP j'ai vu de l'int'erieur la mani`ere de travailler du groupe d'etude du Colorado. Comme vous pourrez en juger vous-m^eme par la suite, ce fut une op'eration bizarre, parfois choquante. La plupart des savants tent`erent d'examiner s'erieusement et impartialement les t'emoignages. Mais des quelque 15 000 rapports disponibles sur les UFOs, dont plusieurs milliers 'emanaient d'observateurs extr^emement honn^etes et comp'etents, Condon et Low n'en pr'esent`erent `a l'examen qu'une centaine. Certains 'etaient si peu dignes de foi que nous avions nous-m^emes pr'evenu les deux hommes contre eux. Tr`es peu de t'emoins qualifi'es furent interrog'es.Sur ces pauvres 'el'ements, Condon b^atit une conclusion de perroquet. Les mots d'ordre de l'USAF 'etaient r'ep'et'es presque syllabe par syllabe : aucun secret. Aucun danger UFO. Aucune preuve de l'existence m^eme de tels objets.Synth`ese du groupe d'etude du Colorado et conclusions de Condon furent promptement d'enonc'ees par l'ancien conseiller de l'USAF, Hynek, le membre du congr`es J. Edward Roush qui avait pr'esid'e les s'eances de 1968, les techniciens du NICAP et autres scientifiques et techniciens bien inform'es. Elles 'etaient dans le m^eme temps durement attaqu'ees par l'Institut Am'ericain de l'A'eronautique et de l'Astronautique qui compte parmi ses 35 000 membres les principaux sp'ecialistes de l'a'erospatiale.Rendu furieux par ces critiques, Condon se laissait aller `a un 'eclat qui devait d'etruire en l'esprit de ses confr`eres son image d'investigateur calme et objectif. Il s'en prenait tr`es particuli`erement aux 'editeurs qui s'etaient int'eress'es `a la question et aux enseignants qui permettaient `a leurs 'el`eves de perdre leur temps sur cette " pseudo science "." Les coupables, d'eclarait-il, devraient ^etre fouett'es en place publique et bannis `a jamais de leurs professions. " (Cette d'eclaration aux savants et enseignants figure aux dossiers personnels de l'auteur.)Dans la bataille d'esormais engag'ee, la synth`ese du Colorado, de par sa non-valeur pourrait acc'el'erer le processus mettant fin au secret. La reconnaissance officielle des UFOs comme vaisseaux spatiaux, 'etrangers `a notre Terre, 'etonnera des millions d'hommes et en effraiera probablement beaucoup au premier abord. Mais une fois les citoyens avertis des faits et de l'absence actuelle de manifestations hostiles, la nervosit'e diminuera.Pendant des ann'ees, nous avons d^u nous faire `a l'id'ee que nous pouvions ^etre an'eantis presque sans avertissement par des missiles intercontinentaux ou lanc'es par sous-marins. Nous avons appris `a vivre sous cette menace parce qu'elle nous 'etait connue. Nous pourrions vivre en connaissant la v'erit'e sur les UFOs, d'autant que le danger a toute chance d'^etre moins pressant que celui d'une troisi`eme guerre mondiale. Du moins, nous serions mieux pr'epar'es `a toute 'eventualit'e.Derri`ere la sc`ene, des personnalit'es bien plac'ees, oppos'ees au maintien du secret, militent en faveur d'une large enqu^ete, men'ee sur une base enti`erement neuve, `a partir de tous les t'emoignages 'elud'es ou camoufl'es. Cela peut nous conduire `a un retentissant programme `a grande 'echelle, tel que le projet Manhattan d'o`u devait sortir la bombe A. A ce programme seraient associ'es des milliers de scientifiques et techniciens dans la perspective d'une technologie avanc'ee des UFOs.Si nous avions 'etabli la communication au moment o`u la premi`ere suggestion en 'etait faite aux autorit'es officielles, nous n'aurions d'ej`a plus `a nous inqui'eter de certains aspects de cette surveillance spatiale.Une question importante et toujours sans r'eponse est celle des dommages caus'es par des UFOs. Dans le rapport d'analyse de l'Acad'emie des Forces A'eriennes, se trouvent des indications sommaires de br^ulures et autres blessures inflig'ees par des UFOs `a des terriens. Il est aussi question d'effets physiques et mentaux.Ces cas sont relativement peu nombreux - 1 % seulement des personnes approch'ees par les myst'erieux engins. Les l'esions peuvent avoir 'et'e produites par des erreurs de contr^ole ou des d'efaillances des dispositifs automatiques destin'es `a tenir `a distance les terriens. Mais il est un nombre tr`es r'eduit de blessures plus graves o`u la r'eponse n'est pas si facile. L'USAF a escamot'e ou tourn'e en ridicule les t'emoignages sur ces cas. Nous devons imp'erativement d'eterminer si ces dommages ont 'et'e d'elib'er'ement inflig'es. Si aucun n'etait intentionnel, la possibilit'e d'actions hostiles ult'erieures ne serait pas pour autant `a 'eliminer. Nous devons au plus t^ot percer le secret des forces en jeu, et tenter de trouver une parade, m^eme si le besoin ne doit jamais s'en manifester.Un bon site:http://baseovnifrance.free.fr/

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